Poésie sur un coin de table
À ma fille, en souvenir de cette balade à Lyon.
Un oiseau endiablé voletait sur nos têtes,
Nous étions attablés – ce jour-là, c'était fête –
Dans ce grand restaurant du quartier Bellecour.
Ma fille, tiens ton rang : on célèbre ce jour
– Ce fut jour de gala ! – où tu obtins... ton code.
Un beau serment – car la confiance s'érode
Au plus petit faux pas – se doit d'être tenu,
Au reste un bon repas est toujours bienvenu.
Ces lignes, arrangées sur un coin de la table
Où nous avons mangé sont un clin d'œil aimable
À ce jour chaleureux. Ces mots, ces mots errants,
Je les relis heureux ; ils vivront, demeurant
Dans mon cœur. Un dîner pour un père et sa fille,
Ensemble une journée, le bonheur en famille,
Un éclair dans tes yeux, un poème d'amour,
Alors je me sens mieux. Je t'aime pour toujours.
Nous étions attablés – ce jour-là, c'était fête –
Dans ce grand restaurant du quartier Bellecour.
Ma fille, tiens ton rang : on célèbre ce jour
– Ce fut jour de gala ! – où tu obtins... ton code.
Un beau serment – car la confiance s'érode
Au plus petit faux pas – se doit d'être tenu,
Au reste un bon repas est toujours bienvenu.
Ces lignes, arrangées sur un coin de la table
Où nous avons mangé sont un clin d'œil aimable
À ce jour chaleureux. Ces mots, ces mots errants,
Je les relis heureux ; ils vivront, demeurant
Dans mon cœur. Un dîner pour un père et sa fille,
Ensemble une journée, le bonheur en famille,
Un éclair dans tes yeux, un poème d'amour,
Alors je me sens mieux. Je t'aime pour toujours.
Lyon, vendredi 9 novembre 2012