Poètastronome
Éléments de prononciation
⧸ diphtongue en 2 syllabes
_(•) liaison | ni liaison ni élision
E E tonique ⇢ rejet ou contre-rejet
_(•) liaison | ni liaison ni élision
E E tonique ⇢ rejet ou contre-rejet

Vers de 8 syllabes
À noter
- fais | haltepas de liaison
Je suis le poètastronome,
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
Dès que le ciel fait placE nette,
J'écoutE le chant des planètes,
Poète et astronome unis,
Calli⧸ope avec Uranie.
Quand la voûte devient_(t)obscure ⇢
Au couchant, je salue Mercure ⇢
Et quelquefois, charmant bonus,
Je donnE mon cœur à Vénus,
La planètE des amoureuses ⇢
Que l'amour rend parfois_(z)heureuses ⇢
Puis pour la rime, au mois de mars ⇢
Je rends_(z)hommage au bravE Mars ;
L'ardeur des fanfarons s'efface ⇢
Devant le rougE de sa face !
Au redoutablE Jupiter,
Je donnE du « Pater noster »,
Je lance un grand bonjour nocturne,
Si j'ose ainsi dire, à Saturne ⇢
Et juste avant le terminus ⇢
Je fais | haltE chez Uranus,
Enfin je remercie Neptune ⇢
De m'apporter chance et fortune ⇢
Quand je les veux solliciter
(La rime a ses nécessités).
Je suis le poètastronome,
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
L'âmE pense : « Ô joie fabuleuse ! »
En contemplant les nébuleuses,
L'âmE goûte à l'ataraxie ⇢
En contemplant les galaxies ⇢
Et moi, l'astronomE poète ⇢
Je fais des vers sous ma lunette,
Les yeux tournés vers l'Infini,
Calli⧸ope avec Uranie.
Quand la voûtE devient_(t)obscure,
Le bonheur que la nuit procure ⇢
Me ravit ; pour tuer l'ennui,
Au jour je préfèrE la nuit,
Je m'offrE sous la stratosphère ⇢
La joie de contempler les sphères ⇢
CommE je contemple, enflammé,
Les sphèrEs de ma bien-aimée ⇢
Car l'Amour est tout ce qui compte ;
L'Univers, à ce qu'on raconte,
Est tout Amour ; qui s'est complu ⇢
À le scruter n'en doutE plus.
UnE nuit pour l'art poétique,
UnE nuit d'amour authentique,
UnE nuit pour l'astronomie,
UnE nuit pour aimer ma mie.
Je suis le poètastronome,
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
Dès que le ciel fait placE nette,
J'écoutE le chant des planètes,
Poète et astronome unis,
Calli⧸ope avec Uranie.
Quand la voûte devient_(t)obscure ⇢
Au couchant, je salue Mercure ⇢
Et quelquefois, charmant bonus,
Je donnE mon cœur à Vénus,
La planètE des amoureuses ⇢
Que l'amour rend parfois_(z)heureuses ⇢
Puis pour la rime, au mois de mars ⇢
Je rends_(z)hommage au bravE Mars ;
L'ardeur des fanfarons s'efface ⇢
Devant le rougE de sa face !
Au redoutablE Jupiter,
Je donnE du « Pater noster »,
Je lance un grand bonjour nocturne,
Si j'ose ainsi dire, à Saturne ⇢
Et juste avant le terminus ⇢
Je fais | haltE chez Uranus,
Enfin je remercie Neptune ⇢
De m'apporter chance et fortune ⇢
Quand je les veux solliciter
(La rime a ses nécessités).
Je suis le poètastronome,
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
L'âmE pense : « Ô joie fabuleuse ! »
En contemplant les nébuleuses,
L'âmE goûte à l'ataraxie ⇢
En contemplant les galaxies ⇢
Et moi, l'astronomE poète ⇢
Je fais des vers sous ma lunette,
Les yeux tournés vers l'Infini,
Calli⧸ope avec Uranie.
Quand la voûtE devient_(t)obscure,
Le bonheur que la nuit procure ⇢
Me ravit ; pour tuer l'ennui,
Au jour je préfèrE la nuit,
Je m'offrE sous la stratosphère ⇢
La joie de contempler les sphères ⇢
CommE je contemple, enflammé,
Les sphèrEs de ma bien-aimée ⇢
Car l'Amour est tout ce qui compte ;
L'Univers, à ce qu'on raconte,
Est tout Amour ; qui s'est complu ⇢
À le scruter n'en doutE plus.
UnE nuit pour l'art poétique,
UnE nuit d'amour authentique,
UnE nuit pour l'astronomie,
UnE nuit pour aimer ma mie.
Je suis le poètastronome,
C'est_(t)ainsi que chacun me nomme,
Celui qui scrutE l'Univers ⇢
Pour en fairE l'éloge en vers.
La légende des « Éléments de prononciation » est accessible via le bouton « Légende » ci-dessous. Consultez-la si besoin pour comprendre la signification des symboles employés.


- Les règles usuelles du français ne font pas l'objet d'éléments de prononciation, seuls les points pouvant poser problème sont signalés.
- En général :
- bien articuler (sans exagérer) pour détacher les syllabes,
- faire entendre les consonnes doubles (ll, mm, etc.) sur les mots qui le justifient,
- lire la poésie « avec son cœur », employer le ton et le rythme que l'on sent être les plus appropriés,
- ne pas hésiter à varier les effets au fil du texte.
- ⁎⧸⁎diphtongue (2 sons voyelles contigus) lue habituellement en 1 syllabe et à lire en 2 syllabes.
-
⁎_(•)⁎liaison susceptible d'être oubliée (avec le son correspondant). À noter :
- les liaisons usuelles ne sont pas repérées (tout le monde est censé les faire).
- certaines liaisons peuvent être faites même si elles ne sont pas repérées ; ainsi celles entre les verbes en ER et la voyelle qui suit.
- ⁎ | ⁎liaison ou élision à ne pas faire.
-
⁎EE final à prononcer (E, Es, Ent), suivi d'une consonne. À noter :
- pour les monosyllabes, le E final n'est pas repéré car il est toujours prononcé.
- les mots composés (avec tirets) sont considérés comme un seul mot.
- ⁎ ⇢rejet (ou contre-rejet). À noter :
- lire les vers concernés en les enchaînant mais...
- ...faire quand même une très brève pause pour ne pas « noyer » la rime.
