Un article du Dauphiné libéré du 29 avril 2020
Quelle plaie, ce f... confinement ! Le seul avantage que je lui trouve : il aura permis à Gaïa de respirer un bon coup puisque les parasites qui la harcèlent sont contraints de cesser (provisoirement, j'en ai bien peur, hélas) leurs activités aux conséquences néfastes.Du coup, la presse régionale (que, je dois l'avouer, je ne lis jamais), n'ayant que peu de choses à se mettre sous les rotatives, enquête sur la manière qu'ont les gens de vivre leur emprisonnement (consenti). Conséquemment, mon ami François, correspondant du Dauphiné libéré a bien voulu me faire l'honneur de venir me saluer : qu'il en soit chaleureusement remercié. C'est l'article né de cette visite que je vous propose ici. Je sais, je n'ai pas la tête des bons jours mais, que voulez-vous, je n'ai que rarement réussi à faire bonne figure sur une photo (soupir...) d'autant que le jour en question, j'avais une sensation pénible parce que douloureuse du côté d'une jambe (là, ça va mieux, merci).
Voilà, un peu de pub ne saurait nuire – même si je n'œuvre pas précidément en ce sens : l'article est bien rédigé, quelques haïku y figurent, quelques extraits des « Poèmes du virus » aussi, et l'adresse de ce site y est donnée pour celles et ceux qui veulent en lire davantage. Que demander de plus ?