L'amour sans limites
Je veux pour te plaire, j'y mettrai le prix,
Ardente maîtresse, t'aimer sans repos.
Accueille, ma belle, mon vit qui se dresse
Et guide-le même s'il connaît l'adresse
Où trouver refuge. Prends-le, je t'en prie,
Dans ta main experte, vaillant et dispos.
Laisse-moi, mignonne, parcourir, fervent,
La carte du tendre sur ton corps charmant,
Que je redécouvre de ma bouche avide
Les deux éminences de tes seins splendides
Et la faille humide qu'explore souvent,
Spél-Éros-ologue, le doigt de l'amant.
Pratiquons ensemble mille jeux pervers,
Tiens : à pile ou face pour mieux profiter,
Ma jolie coquine, des mille caresses
Que l'ardeur fait naître ; puis que comparaissent,
Qui plaident coupable, l'endroit et l'envers
De ton corps superbe deux fois excité.
Reçois en offrande dans ton sexe nu
La semence blanche si prompte à jaillir
Et jouit sans trêve sitôt qu'elle inonde
Celle qui se cache sous ta toison blonde,
L'avenante hôtesse du vit bienvenu
Qui en toi pénètre sans jamais faillir.
Dormons, ma princesse, d'un sommeil content
Puisqu'il faut qu'on dorme. Mais à ton réveil,
Si je rêve aux anges, fourbit sans attendre
Celui qui somnole, qu'il veuille se tendre,
Qu'il bande sans faute pour payer comptant
Son dû à l'extase, tous sens en éveil.
Cette nuit encore nous nous aimerons.
Le bonheur enchante qui sait s'en saisir,
Vivre c'est, ma muse, s'aimer sans contrainte,
Prélude à l'orgasme, la joie de l'étreinte
Nous rendra avides et nous referons
L'amour sans limites, ivres de plaisir.
Ardente maîtresse, t'aimer sans repos.
Accueille, ma belle, mon vit qui se dresse
Et guide-le même s'il connaît l'adresse
Où trouver refuge. Prends-le, je t'en prie,
Dans ta main experte, vaillant et dispos.
Laisse-moi, mignonne, parcourir, fervent,
La carte du tendre sur ton corps charmant,
Que je redécouvre de ma bouche avide
Les deux éminences de tes seins splendides
Et la faille humide qu'explore souvent,
Spél-Éros-ologue, le doigt de l'amant.
Pratiquons ensemble mille jeux pervers,
Tiens : à pile ou face pour mieux profiter,
Ma jolie coquine, des mille caresses
Que l'ardeur fait naître ; puis que comparaissent,
Qui plaident coupable, l'endroit et l'envers
De ton corps superbe deux fois excité.
Reçois en offrande dans ton sexe nu
La semence blanche si prompte à jaillir
Et jouit sans trêve sitôt qu'elle inonde
Celle qui se cache sous ta toison blonde,
L'avenante hôtesse du vit bienvenu
Qui en toi pénètre sans jamais faillir.
Dormons, ma princesse, d'un sommeil content
Puisqu'il faut qu'on dorme. Mais à ton réveil,
Si je rêve aux anges, fourbit sans attendre
Celui qui somnole, qu'il veuille se tendre,
Qu'il bande sans faute pour payer comptant
Son dû à l'extase, tous sens en éveil.
Cette nuit encore nous nous aimerons.
Le bonheur enchante qui sait s'en saisir,
Vivre c'est, ma muse, s'aimer sans contrainte,
Prélude à l'orgasme, la joie de l'étreinte
Nous rendra avides et nous referons
L'amour sans limites, ivres de plaisir.
Annonay, jeudi 6 août 2020
Note de l'auteur : ce poème présente une particularité dans l'écriture, la même à chaque vers. L'avez-vous notée ?