Tercets à mon Âme
En t'adressant les mots que j'écris dans ces stances,
D'amour total épris, c'est à moi que j'écris
Par-delà l'existence ;
Toujours l'âme et l'esprit poussent le même cri,
Toujours l'âme et le corps dansent la même ronde,
Toujours le manuscrit
Prévaut, de leur accord. Que l'orage qui gronde
Éclate au ciel d'été, que le Soleil rayonne
Ou que la Lune blonde
Répande sa clarté, cet accord mentionne
Que l'âme et que le corps cherchent le même port,
Et l'esprit ; qu'ils sillonnent
Malgré la houle encor, inlassables transports,
L'océan de la vie ; et leur marche incessante
Ne souffre nul report.
Si j'ai eu cette envie, d'une plume innocente
De t'octroyer, mon Âme, un peu de poésie,
Toute affaire cessante,
Poète qui déclame un chant d'amour saisi,
C'est qu'il est bon toujours d'échanger avec celle
Que l'amour rassasie
Pourvu qu'au fil des jours la divine étincelle
Resplendisse, merveille, éclat fusionnel,
Radieuse parcelle
De l'Univers qui veille, amène et paternel,
Sur ses enfants. Merci, mon Âme messagère
De l'amour éternel,
Mon Âme que voici, rayonnante et légère
Et pour t'aimer assez de cœur, de corps, d'esprit,
Mon Âme qui m'es chère,
Je t'offre ces tercets, ravissement compris.
D'amour total épris, c'est à moi que j'écris
Par-delà l'existence ;
Toujours l'âme et l'esprit poussent le même cri,
Toujours l'âme et le corps dansent la même ronde,
Toujours le manuscrit
Prévaut, de leur accord. Que l'orage qui gronde
Éclate au ciel d'été, que le Soleil rayonne
Ou que la Lune blonde
Répande sa clarté, cet accord mentionne
Que l'âme et que le corps cherchent le même port,
Et l'esprit ; qu'ils sillonnent
Malgré la houle encor, inlassables transports,
L'océan de la vie ; et leur marche incessante
Ne souffre nul report.
Si j'ai eu cette envie, d'une plume innocente
De t'octroyer, mon Âme, un peu de poésie,
Toute affaire cessante,
Poète qui déclame un chant d'amour saisi,
C'est qu'il est bon toujours d'échanger avec celle
Que l'amour rassasie
Pourvu qu'au fil des jours la divine étincelle
Resplendisse, merveille, éclat fusionnel,
Radieuse parcelle
De l'Univers qui veille, amène et paternel,
Sur ses enfants. Merci, mon Âme messagère
De l'amour éternel,
Mon Âme que voici, rayonnante et légère
Et pour t'aimer assez de cœur, de corps, d'esprit,
Mon Âme qui m'es chère,
Je t'offre ces tercets, ravissement compris.
Annonay, vendredi 9 juin 2023
(Cette poésie porte le numéro 1 sur 3)