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27 mars 2018 : Rencontres poétiques au café La Loggia à Lyon

Il est bien connu que les formules qui marchent n'ont nul besoin d'être changées. La première après-midi de Rencontres poétiques à laquelle j'ai eu le plaisir de participer au café La Loggia, rue A. Comte à Lyon, semble relever, justement, d'une « formule qui marche ».

Ainsi donc comme le 6 mars dernier, un (trop) petit groupe de poètes de l'UERA s'est réuni de 16 heures à 18 heures, à l'initiative de Maria Angelle, pour dire (« réciter » ? « déclamer » ? à chacun son style...) l'une ou l'autre poésie sur le thème de la nature. Thème vaste au demeurant et qui autorise bien des libertés. Qu'importe, seul compte le plaisir de l'échange.

J'écrivais dans le premier compte rendu : chaque participant avait droit à intervenir pendant quelques minutes mais à plusieurs reprises, excellente formule qui permet ainsi de renouveler les genres, les styles et, bien sûr, les voix. Le principe était bon, il fut à nouveau utilisé. C'est peu dire que les textes (au moins dans la forme) furent variés, impression renforcée parce que, forcément, les lectrices et les lecteurs qui se succédèrent avaient leur propre façon de Rencontres poétiques à Lyon lire. Ça tombe bien : la variété est censée éviter l'ennui.

Pour ce qui me concerne, j'ai choisi de commencer en rendant hommage à mon pays natal, les Boutières (mais si, vous les connaissez sans même le savoir : « La Loire prend sa source au mont Gerbier de Jonc... », apprenait-on à l'école) avec Boutières (le bien nommé), puis j'ai lu au cours de mes différentes interventions Chanson de l'automne au bois, Coup de gueule, Octobre au parc, dans le désordre et j'en oublie peut-être, je n'ai pas de mémoire pour ça. Tout au plus, me souvient-il avoir conclu avec Les ânes gris.
Rencontres poétiques à Lyon
Et les deux heures prévues passèrent aussi vite que la première fois. Quel dommage (mais comment faire ?) que ces Lectures n'attirent que très peu d'auditeurs, compte non tenu, cela va de soi, des auteurs présents... Bah, il faut bien se faire une raison. Puis tout va, passe, repasse, vient et revient... La poésie trouvera à nouveau sa place un jour prochain – mais quand ?

Ah, j'oubliais : histoire probablement de se sentir en terrain familier, la pluie a cru bon de tomber (comme le 6 mars) sur la capitale des Gaules. Pluie d'hiver naguère, pluie de printemps cette fois mais pluie tout de même... Sauf que ce coup-ci, j'avais mon parapluie. On ne me la fait pas deux fois !

Il ne me reste plus qu'à remercier les participants pour leur écoute, le café La Loggia pour son accueil et Maria Angelle pour être à l'initiative de ces rencontres (et pour les photos de ce compte rendu).

À bientôt – j'espère – autour de nouvelles Rencontres poétiques.