Les « Poèmes à chanter » du vol. 6
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Note du 21 février 2020
Le lecteur qui connaît (au moins un peu) la philosophie des Cahiers des Poésies de mon cœur sait que l'auteur de ces lignes a adopté une façon de faire peu courante en poésie : écrire des poèmes – mais ça, c'est la chose à faire a minima – et les réunir en recueil dans l'ordre de leur publication sur le présent site (chaque pièce étant dûment datée) – et ça, c'est moins courant.Le futur vol. 6 des Cahiers, comme les autres et à l'exception du n° 5 avec ses haïku et senryû, aura un « thème » central, celui-là même qui justifie son titre, savoir une série de 6 (ou 7, ou 8 ?) poèmes à chanter, c'est-à-dire écrits d'après les premières mesures de mélodies de jazz. Il aura également ses quatre poèmes finaux autour du même sujet, en l'occurence cette fois-ci : les quatre vents (Nord, Sud, Est, Ouest). Le vol. 6 comprendra les poèmes écrits à partir de décembre 2018.
À la date du présent article, quatre poèmes à chanter ont été publiés :
- Éros, bis repetita d'après « Secret Love » (Paul Francis Webster, 1953)
- Il vivait en rêvant d'après « Taking A Chance On Love » (Vernon Duke, 1940)
- Les amants de Vincennes d'après « But Not For Me » (George Gershwin, 1930)
- Sur un bateau tanguant en route pour la Chine d'après « On A Slow Boat To China » (Frank Loesser, 1948)
Note du 5 avril 2020
Compte tenu des événements de ce printemps, j'ai réorganisé le vol. 6 des Cahiers.J'ai ajouté la rubrique des « Poèmes du virus », deux pièces à ce jour (CoV et Des nouvelles d'en haut). Pour les haïku, je ne sais pas encore, tout dépendra de leur nombre et des poèmes à venir sur le sujet (le moins possible j'espère !) ; pour le moment, une ballade est en cours d'écriture.
Toutefois, le thème principal du vol. 6 restera celui des poèmes à chanter : deux autres seront publiés prochainement, un ce mois d'avril, l'autre en mai. Peut-être une septième et dernière chanson complètera la série. Publiés bientôt eux aussi, les trois autres poèmes sur le thème des vents, qui termineront le recueil. Alors le nombre de pages, toujours le même depuis le vol. 1 des Cahiers, environ 140, sera atteint et le vol. 6 devrait être « publié » d'ici à l'été prochain.
Note du 22 juin 2020
Le vol. 6 est en cours de finalisation. Le projet au complet (contenu, couverture) devrait être prêt fin juillet. Manquent quelques poésies (déjà écrites et qui paraîtront à la fin de ce mois et en juillet, peut-être en août, plus le dernier des poèmes à chanter en cours d'écriture).Je vais ces jours-ci regarder de près la couverture ; probablement me faudra-t-il, après un coup d'œil décevant sur la Toile, fabriquer moi-même une image. Comme pour les livres précédents, la couverture doit reprendre le thème qui donne son titre au bouquin. C'était plus facile avec le vol. 4 et ses dizains ferroviaires ! Et même pour le dernier en date (« Haïku & senryû »). Là, je vais devoir composer un petit quelque chose à partir des éléments concernés : un micro pour la chanson, un carnet (ou une feuille, peu importe) pour évoquer l'écriture et... quoi d'autre ? Bah, je verrai. Puis tout ça me rappellera les (rares) natures dites mortes que j'ai composées il y a bien longtemps quand je débutais en photo !
Pour les poèmes à chanter, ils seront donc sept au final. Aux quatre cités plus avant dans cet article, se sont ajoutés :
- À deux dans la ville d'après « Cry Me A River » (Arthur Hamilton, 1953)
- Aymé d'après « Bei mir bist du schön » (thème traditionnel yiddish)
Note du 28 juin 2020
Trouver la couverture du vol. 6 n'est pas aussi simple que pour les cinq précédents Cahiers.Il s'agit à chaque fois, et à l'exception peut-être du vol. 1, sans sujet précis, de trouver une image en relation avec le thème du recueil. Tâche facile avec le n°2, les « Poèmealines » faisant plusieurs références à Paris et, en particulier, aux abords du canal de l'Ourcq. Idem pour le n°4 (« La Séquence parisienne » avec une photo prise du pont des Arts en direction du Pont Neuf) et le n°5 et ses « Dizains ferroviaires » avec sa gare de triage. Pour les haïku et senryû, l'image de l'arbre et du Soleil m'a paru être en bons termes avec les « poèmes courts japonais ».
Pour cet opus n°6, ce sont donc de « Poèmes à chanter » qu'il s'agit. L'idée m'est apparue séduisante de fabriquer une couverture à partir de quelques éléments susceptibles d'évoquer le sujet : un micro pour la partie « à chanter », avec un fond d'image qui renvoie au même sujet, savoir une enceinte acoustique. Quant au carnet et au crayon, ils sont là pour suggérer l'écriture (des poèmes, évidemment). La table où est ouvert le carnet, associé au fond de l'image, ne fait pas penser à un studio d'enregistrement mais plutôt a un intérieur privé, un salon par exemple, ce qui est le but recherché. Enfin, mais non moins important que la qualité de l'image elle-même, la lisibilité des éléments de bas de couverture (titre, dates, volume) reste bonne.
Note du 1er septembre 2020
Le dernier des poèmes à chanter de ce sixième bouquin est en ligne depuis hier 31 août.Il s'agit de :
- Vieux géant d'après « Sundown » (Marco Cerletti, 1990).
Maintenant, eh bien, l'aventure du vol. 7 peut commencer... J'ai quelques poèmes d'avance – si j'ose dire – qui seront publiés petit à petit, plus ceux que je ne manquerai pas d'écrire au fil des jours (car il faut un peu de matière pour faire un livre). J'ignore le titre de ce prochain cahier et si j'ai une idée quant à son thème central, rien n'est décidé à ce jour...