Ajout d'un article (page Notes) : Haïku.

À celle qui m'a croisé en souriant : quatre quatrains, un petit poème pour garder le souvenir d'une rencontre fugace (ô combien !) dans la vallée du Rhône.

Invisible : une évocation en vers de cet univers habité par ces êtres qu'on ne voit pas et qui essaient (d'autant mieux) de nous influencer.

Publication du compte rendu de la soirée poésie d'hier vendredi 9 décembre au Coin des Livres à Davézieux (07).

Femmes : un hommage aux femmes en ces temps troublés où des hystériques mal rasés réussissent l'exploit de les voiler avec leur consentement (malins, les types...) et où les « États-Uniens » élisent un crétin inculte, vulgaire et macho.

La compilation des 3 recueils des Poésies de mon cœur est disponible chez lulu.

Le vol. 3 des Poésies de mon cœur est disponible chez lulu. Des précisions sur le vol. 3 sont à lire en suivant le lien.

La comptine des angines : une variation pour rire sur la famille des angines, originellement deux (la blanche et la rouge), à quoi j'ai ajouté quelques couleurs. À noter qu'il ne s'agit pas d'une vraie comptine : on n'y compte pas.

Nicolas (La rose dans le grillage) : un poème inspiré par une fleur, « La rose dans le grillage / Qu'une main à glissée là ».

La recherche est accessible depuis la page des sous-rubriques (Sinon, quoi d'autre ?) - et toujours depuis la page d'accueil.

Adieux : il est bon, je crois, de faire ses adieux à celle (ou à celui) qui part pour un long voyage.

Héritage : marre de ces nostalgiques des « Trente Glorieuses », ces années de croissance (d'illusion, surtout) qui sont la cause du m... où nous sommes aujourd'hui !

Recherche, le retour ! Ajout d'un moteur de recherche interne (pas de fouineur ici !) à partir d'un script en .php fourni gracieusement par ENGINE.BLORK. Ce moteur de recherche est proposé à titre expérimental. Il ne concerne que les poésies. Simple dans son fonctionnement, il scanne les fichiers à chaque requête, mais sa réactivité est excellente (une ou deux secondes pour plus de 200 fichiers). J'espère qu'il rendra service.

Le plan du site est accessible depuis la page d'accueil.

Allègement du menu en haut des pages ; du fait que, paraît-il, l'internaute ne peut avoir de vue d'ensemble d'un menu s'il offre plus de 7 choix, j'ai réduit le nombre de boutons à 9 (je sais, deux de trop) et 7 rubriques ont été déplacées dans un sous-menu finement intitulé : « Sinon, quoi d'autre... ? ».

Il s'agit des rubriques : contact, poésie au hasard, poésie en liberté, bibliothèque, droits, projets, mises à jour & archives et liens.

À noter que l'accès direct à ces pages (c'est-à-dire en entrant directement leur adresse) ne change pas.

Quelques autres changements ont été apportés pour améliorer la navigation : le bouton de la page consulté s'affiche vide, un bandeau indique clairement quand des pages s'ouvrent dans une nouvelle fenêtre en plein écran, les pages avec beaucoup de contenu (accès aux poésies, notes, liens) ont un menu de navigation sous le titre (plusieurs l'avaient déjà) et on peut revenir en haut de la page (donc audit menu) en cliquant sur n'importe quel item de la page : lettre (poésies par ordre alphabétique), année (poésies par date), catégories (poésies par catégories), titre des notes (notes), famille de liens (liens).

J'espère ainsi avoir rendu la navigation sur le site des Poésies plus simple et plus conviviale.

Si je t'avais croisée... : un poème d'amour plein d'optimisme (et de bon sens aussi, finalement).

Ajout, sur les poèmes concernés, de la mention : « Ce poème fait partie des poèmes disponibles à l'écoute. Voyez sur la page correspondante. »

Poème pour l'automne : la mélancolie de l'automne dans un poème aux lignes classiques.

Cercle de silence : un petit poème écrit « mentalement », si j'ose dire, dans un cercle de silence à Annonay. Je ne connaissais pas les cercles de silence.

Déploration : un distique pour rire en jouant avec les mots.

L'heureux moribond : la chanson d'un ami en partance pour le grand voyage vers cet ailleurs qu'on suppose, et qui n'y voit que du bonheur.

Métro, ligne 6 : un poème imprévu, improvisé dans le métro parisien (et couché sur le papier de mon carnet à la gare de Lyon tout de même).

Ajout d'un article (page Notes) : Malgré eux...

Chanson pour [...] : « J'ai découvert ce poème dans une boîte en fer-blanc, enfouie au fond d'un trou dans le mur d'une cave... »

Rencontre : un poème pris « sur le vif », écrit en grande partie sur les bords du Ternay où j'ai croisé ce lundi 15 août un bon copain pas vu depuis quelque temps.

Un amour de montre : l'histoire de la renaissance d'une vieille montre retrouvée au fond d'un tiroir.

Errance : un poème commencé à l'automne 2014 et terminé à la fin de l'année 2015. Il était évoqué (sans son titre) dans le bulletin d'infos de février 2015, puis (avec titre) dans celui de mars 2016. Je ne sais pas pourquoi il n'avait pas été publié.

Mise à disposition des bulletins d'infos parus sur le blog des Poésies (via CanalBlog) et envoyés aux lecteurs « abonnés ». Cette mise en ligne m'a contraint de faire ce que je voulais faire depuis un moment déjà : normaliser la présentation des futurs bulletins.

Mise en ligne (officielle, c'est dire...) ce jour des premières Poésies à écouter, à retrouver donc dans la page du même nom.

J'ai déplacé les notes de la page Poésies à écouter (TEST) dans la section projets du site. Le point sur les poésies à écouter donc est à lire en suivant le lien ci-avant.

Souvenir du 3 août : un petit poème burlesque, dernier vestige (mais écrit il y a presqu'un an déjà) des amours alinéennes...

J'ai repris quatre poèmes pour corriger des erreurs. Quoi qu'on fasse, il faut bien constater qu'on se trompe parfois mais aussi que la perfection n'est qu'un mythe... Donc pas question pour moi de reprendre des poèmes pour leur teneur (sauf cas très exceptionnel), d'autant moins s'ils ont été publiés et surtout proposés en livre ; à ce jeu, on n'en finit jamais ! Par contre, des erreurs (de versification par exemple) méritent évidemment d'être corrigées.

Voici les poèmes concernés :
- Place des Cordeliers, un jour de mai, vol. 1, p. 22 : « serviettes » est compté en diérèse par erreur ; du coup, pour récupérer une syllabe, les nappes changent de couleur et deviennent blanches : Nap/pes / blan/ ches/, ser/viet/tes / roses = 8.
- Les fondamentaux I, vol. 2, p. 99 : c'est l'erreur inverse ! Je pensais que « estropié » était un dérivé de pied, donc en 3 syllables (es/tro/pié). Or, il n'a rien à voir avec pied et comme dérivé d'un verbe en -ier, il compte 4 syllabes (es/tro/pi/é). « Estropié » cède le pas (c'est le cas de le dire) à « éclopé » et les deux vers concernés deviennent : Pour le clopeur la clope, hein ? // Pour l'éclopé, il clopine.
- Stances frivoles, vol. 2, p. 113 : faute d'accord. Il manque la marque du pluriel à « fou » : Soyons un peu fouS.
- Géographie, vol. 2 , p. 128 : simple erreur de date. Il s'agit du jeudi 5 mars 2015 et non 2013.

Tous les fichiers concernés ont été repris (poèmes à l'affichage, livres animés) ainsi que, bien sûr, les livres chez lulu.

Poésie en liberté : Vieux vapeur a été confié à une jeune employée de la gare de Boucieu-le-Roi pour affichage dans la salle d'attente ; de même, La Transversale l'a été aux bons soins de la secrétaire de mairie (je suppose) de Plats pour affichage à l'entrée de la maison du peuple.

La Transversale : de Bozas à Tournon, la chronique d'une randonnée dans les montagnes de l'Ardèche.

Mise en ligne d'un petit document reprenant les règles de lecture des liaisons et des diphtongues en poésie métrée et versifiée. À récupérer sur la page Téléchargement & achat.

Le vol. 3 des Poésies devrait paraître d'ici à la fin de l'année. Voici l'état du livre en ce milieu d'été 2016.

Soir d'été : un poème inspiré par un extrait d'article de Morvan Lebesque, paru dans le « Canard enchaîné » en 1971.

Chez le marchand de quatre-saisons : une des « Petites chroniques du quotidien » qui font aussi la poésie ; ici, une évocation des « joies du végétarisme »...

Ajout d'un article (page Notes) : Du genre des rimes (2).

Pour une fois qu'un site ne nous piste pas, on ne va pas se plaindre ! Pour autant, l'acheteur potentiel qui débarque sur lulu a droit à une page en angliche... Et passer en langue civilisée (oui, bon, j'exagère un peu) n'est pas évident. J'ai rédigé un petit mode d'emploi pour les francophones. Il est accessible depuis les pages qui possèdent un lien vers lulu (Accueil, Téléchargement & achat, Liens).

On est chez nous ! : quand les identitaires se déchaînent en étalant sur les murs leur sale propagande...

J'ai modifié les Notes et le Manifeste pour remplacer la notion de poésie « classique » ou « néo-classique » par la poésie « traditionnelle » et la poésie « rimée et versifiée moderne ». En effet, ce qui était classique pour Ronsard était dépassé pour Malherbe, ce qui était classique pour Malherbe, etc. Bref : « classique » ne veut rien dire du tout car tout est en mouvement. Je reconnais que « traditionnel(le) » n'est pas la panacée non plus, mais faute de mieux...

Poésie dans un car : un petit poème imprévu, écrit pour l'essentiel sur le siège d'un car, non loin d'une charmante passagère.

Téléphone : si les gens du monde entier téléphonent, c'est pour se sentir moins seuls ?

Quelques impressions, de retour de Paris, sur La Séquence parisienne.

Mise en ligne des huit poèmes de La Séquence parisienne :
– Gare de Lyon (Initial).

– Ballade des Buttes‑Chaumont.

– Ponts.

– Dialogue de l'écolier qui aimait l'histoire et de l'écolier qui aimait la géographie.

– Rencontres.

– Le jardin du Luxembourg.

– Soleil couchant 2016.

– Gare de Lyon (Final).

Ajout d'un article (page Notes) : L'illusion du virtuel.

Les ultimes infos sur la future Séquence parisienne (si vous voulez lire ou relire les parties 1 et 2, il vous suffit de remonter la page).

Mythologie 21 : où l'auteur imagine un dialogue entre les dieux et les hommes du 21e siècle. Ça a un petit côté suranné, genre antique, qui me plaît bien, même si ça finit mal (et je crois que ce siècle finira mal).

De nouvelles infos sur la future Séquence parisienne (si vous voulez lire ou relire la partie 1, il vous suffit de remonter la page).

Les chenilles processionnaires : lors d'une randonnée j'ai vu, en travers du sentier, une longue file de chenilles en procession : parfois, il ne m'en faut pas davantage pour sortir le stylo et le carnet.

Compte rendu du 5e Salon du livre de Saint-Marcel-lès-Annonay, en date du dimanche 3 avril.

Épitaphe pour un poète déprimé : cette épitaphe ne saurait concerner l'auteur - non qu'il ait un moral à toute épreuve, mais parce qu'il tient à partir en fumée quand le moment sera venu : pas de tombe, pas d'épitaphe...

Les fichiers .pdf des deux premiers recueils des Poésies ne sont plus disponibles. Bien entendu, tous les poèmes restent consultables sur le site (c'est sa raison d'être), ainsi que les livres animés. Notez que les .pdf des Notes et du Manifeste sont toujours téléchargeables.

Quelques premières infos sur la Séquence parisienne prévue courant mai prochain.

Du préjudice causé aux morts à entretenir les tombes : pauvres morts délaissés, au moins n'avez-vous pas froid l'hiver...

Deux comptes rendus pour le même prix : le 7e Printemps des écrivains et le Grand Bal des Mots Dits, respectivement à Peaugres (07) et à Valence (26) les 19 et 20 mars.

Épigramme du distrait : je crois bien que c'est ma première épigramme... À moins que... Non, ce sont des épitaphes que j'ai faites. Quel distrait !

La petite épicerie : un voyage dans le passé au hasard d'une randonnée.

Gamins ! : quand le poète amusé (et amusant, j'espère) croise le regard d'un bambin dans sa poussette...

J'ai déniché du code (utilisant JQuery et .css) pour afficher un diaporama. Je peux ainsi accueillir les visiteurs depuis la page d'entrée en leur présentant successivement salons et autres manifestations littéraires - et tout ce qui fait l'actualité de ce site. Merci à Guillaume Voisin de mettre à disposition des développeurs amateurs ce genre de scripts !

Arbres : quand j'étais photographe, les arbres étaient un de mes sujets de prédilection. Beaux arbres... Alors, en images ou en mots...

Parution en janvier de l'anthologie n°2 de la Maison de la Poésie de la Drôme. J'y figure avec Ci-gît.

Modification de la page Contact : un formulaire permet de m'envoyer un message directement depuis le site (sans passer par Canalblog).

Ras-le-bol du Gogol avec sa manie de farfouiller partout et de tout stocker... Du coup, j'ai supprimé mon compte et la recherche sur le site n'est plus disponible. Plus de recherche mais là au moins, le gros fouineur ne viendra pas voir ce qui se passe.

Les deux volumes des Poésies sont dans une nouvelle édition avec une police plus lisible (Garamond corps 12), des marges plus importantes, etc., bref : une présentation grandement améliorée. Les livres animés et les .pdf ont été mis à jour aussi.

Dialogue (Morts qui vivez là...) : échanger quelques idées avec les trépassés, c'est possible... Mais tout est possible en poésie.

Dans un car : un poème écrit après un de mes (nombreux) trajets en car ; il s'agit d'une variation sur le thème des vies qui se croisent l'espace d'un bref moment, au hasard des rencontres et des lieux - là, dans un car, donc.

J'avais commencé, il y a longtemps de cela, un Catalogue d'objets introuvables comme celui du génial Carelman. En voici une quinzaine d'exemples.

Poème optimiste : les jours à venir seront forcément meilleurs... Je crois qu'on nomme ça l'espérance. Comment vivre sinon ?

Deuil : un court poème vaguement désabusé écrit durant l'été 2014. Je n'ai pas de raison spéciale de le publier maintenant ; mais pourquoi pas ?

Alice obéie des merveilles : dans les rues du bon Paris, Alice s'émerveille de tout. Le portrait en poésie d'une inconstante.

Deux poèmes pour changer d'année, un daté logiquement du 31 décembre 2015 et l'autre du 1er janvier...